Le commerce des porcelets semble être victime de la facture maintenant que le taux d'abattage des porcs a fortement baissé ces dernières semaines. Quelles sont les perspectives de trading dans la semaine à venir ?
Les températures tropicales qui ont frappé les Pays-Bas et d'autres pays européens ces dernières semaines ont eu un impact significatif sur les ventes de porcelets. Même avant que la chaleur ne frappe l’Europe, le marché des porcelets était en difficulté à cause de la pandémie du coronavirus. Les épidémies de coronavirus ont entraîné la fermeture temporaire de plusieurs abattoirs européens et une interdiction des exportations de viande vers la Chine. En conséquence, la capacité d’abattage a été considérablement réduite.
Protocole de chaleur
La chaleur a déclenché le protocole de chaleur, ce qui a encore réduit la capacité d'abattage. La livraison de porcs s’est avérée être une énigme difficile à résoudre. Pour de nombreux commerçants, cela signifiait que les porcs devaient être déplacés chaque semaine et que l'espace disponible pour pondre les porcelets était insuffisant.
L'évolution des prix des porcelets aux Pays-Bas et en Europe a connu une tendance latérale ces dernières semaines, mais ce n'est pas tout. Pour cette semaine, le VEZG a également enregistré des prix inchangés pour les porcelets à 39 €. L'image de prix inchangée de la VEZG Notierung est également l'attente de la cotation des porcelets du NordWest pour la semaine 34.
Segment de marché
Les commerçants qui ont soumis leurs attentes concernant les cours des porcelets cette semaine ne montrent pas une image différente de celle présentée par le VEZG, à savoir une image inchangée. Le DCA BestPigletPrice (BPP) reste donc pour le 4e semaine consécutive avec 30 € inchangés. Il faudra d'abord augmenter le taux d'abattage avant que le BPP puisse augmenter, selon l'avis de la majorité des commerçants de porcelets.