L'offre très importante de porcs d'engraissement en Europe limite les opportunités de vente. La situation en Allemagne devient chaque jour plus tendue. Et les mesures corona renforcées s'ajoutent à cela.
Les mesures corona renforcées (fermeture des établissements de restauration) annoncées par le Premier ministre Mark Rutte au début de cette semaine constituent un revers pour le marché porcin néerlandais. D’autres pays connaissent également une augmentation du nombre d’infections et davantage de mesures. Cela ralentit la demande de porc.
Les ventes de demi-carcasses et de jambons sont donc décevantes. Dans l’ensemble, le marché européen de la viande est volatile. Le fait que les opportunités de vente en Chine et au Japon soient bonnes est donc particulièrement appréciable en cette période.
Beaucoup de cochons au dessus du marché
Une demande de viande modérée est compensée par une offre de viande limitée. C’est parce qu’il y a beaucoup moins de sexe en Allemagne. Environ 800.000 400.000 porcs seulement ont été abattus ces dernières semaines. On rapporte (estimation ISN) qu'il y aurait jusqu'à XNUMX XNUMX porcs suspendus au-dessus du marché en Allemagne. Les poids sont désormais assez élevés et il faudra probablement des semaines avant que la situation ne se normalise. La situation devient de plus en plus critique.
Il n’est donc pas surprenant que les ventes de porcs à l’engrais dans notre pays soient difficiles. De nombreux commerçants s’en plaignent. Aux Pays-Bas, les abattoirs continuent généralement sans problème en combinaison avec l'abattage du samedi, mais cela ne peut pas éliminer le bouchon porcin dans le nord-ouest de l'Europe.
Prix de la bourse DCA 2.0
Il n’y a aucune pression sur le prix du porc, ni aucune possibilité d’augmentation. Le prix d'échange DCA 2.0 restera inchangé la semaine prochaine à 1,34 € le kilo pour les porcs abattus, et le prix du porc vivant à 1,04 € le kilo.