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Programme d'assainissement des porcs largement inutilisés

14 Décembre 2020 -Erik Colenbrander

Près de la moitié des 400 éleveurs de porcs éligibles au dispositif de réorganisation de l'élevage porcin ont décidé de ne pas y participer. Cela ressort clairement des chiffres des comptables et conseillers ABAB.

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Eric Colenbrander

Journaliste agricole indépendant

Plus de 500 éleveurs de porcs se sont inscrits au plan de restructuration de l'élevage porcin et environ 400 d'entre eux ont reçu une décision. Selon le spécialiste Frank Steenbreker du cabinet comptable ABAB, à peine plus de la moitié de ces 400 entreprises participeront effectivement au programme. Cependant, ils ne peuvent pas revenir sur leur décision maintenant que les prix du porc ont chuté de manière aussi spectaculaire.

Steenbreker : "La politique de soutien est insuffisante. L'indemnisation pour les écuries plus anciennes qui sont encore fonctionnelles parce qu'elles ont été récemment rénovées est trop faible. Il y a aussi des entrepreneurs qui ne participent pas parce qu'ils ne sont pas autorisés à élever des porcs ailleurs. Dans l'Est La compensation beaucoup plus faible pour les droits des porcs aux Pays-Bas, par rapport au sud des Pays-Bas, joue également un rôle. »

Conséquences fiscales majeures possibles
Certaines entreprises enregistrées et éligibles pour participer au plan de restructuration ont finalement été vendues à d'autres éleveurs de porcs. Il s’agit principalement d’élevages de porcs d’engraissement de grande taille, bien positionnés sur le marché. Selon Steenbreker, il est très important que les obligations financières puissent être respectées. Il souligne également les conséquences fiscales potentiellement importantes du bénéfice d'arrêt à verser.

Comme à peine plus de la moitié des 400 entreprises ayant pris une décision y participeront effectivement, 150 à 200 millions d'euros resteront probablement inutilisés. Un montant total de 450 millions d'euros a été mis à disposition pour le régime de restructuration de l'élevage porcin. Steenbreker estime qu'en moyenne 1 à 1,2 millions d'euros sont versés par entreprise, même si les écarts entre les entreprises sont importants.

Questions politiques
Diverses questions parlementaires ont été posées au ministre Schouten sur la participation au plan de restructuration. La Chambre des représentants souhaite savoir auprès du ministre quel montant du budget reste inutilisé et quel effet le projet a sur les émissions et les dépôts d'azote. Steenbreker ne peut pas estimer cela. Le nombre de truies et de porcs à l'engrais qui disparaissent du marché a été estimé par le ministre entre 70.000 et 75.000 truies et 330.000 à 335.000 porcs à l'engrais. Cela représente 7 à 8 % du cheptel porcin total aux Pays-Bas. Les émissions totales d'azote impliquées dépendent de la modernité des écuries. De plus, ce ne sont pas les émissions, mais la quantité d'azote qui se dépose le moins dans la nature vulnérable qui détermine le problème de l'azote. Ces dépôts d'azote, ainsi que les émissions d'azote, sont déterminés par la localisation des entreprises par rapport aux réserves naturelles vulnérables.

Autres modalités d'achat
Le plan de restructuration de l'élevage porcin vise à réduire les nuisances olfactives. Dans la province du Brabant-Septentrional, l'achat volontaire de pic-loaders débutera en janvier 2021. Au total, 53 millions d'euros sont disponibles à cet effet dans la province du Brabant-Septentrional sur 3 ans. Il est prévu que 10 fermes d'élevage seront achetées au cours du premier cycle. On ne sait pas encore quand le programme de pointe va démarrer dans les autres provinces. En plus de ce dispositif d'achat volontaire, un dispositif national de cessation d'emploi pour les élevages démarrera également en 2021, quelles que soient les émissions d'azote et la localisation des élevages.

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