Les éleveurs de porcs canadiens de la province de Québec pourraient être contraints d'euthanasier 130.000 28 porcs. Un grand abattoir est à l'arrêt depuis le XNUMX avril car les salariés ont arrêté de travailler.
L'usine d'Olymel de Vallée-Jonction abat normalement environ 36.000 3 porcs par semaine. Les salariés de l'entreprise sont en grève depuis XNUMX mois. Les syndicats sont en discussions avec Olymel pour de meilleurs salaires. Jusqu'à présent, les syndicats ont rejeté les propositions de l'entreprise. Ils disent attendre une « offre sérieuse ». La consultation est dans une impasse.
Part des porcs vendus dans la région
Environ 21.000 36.000 des 15.000 130.000 animaux traités chaque semaine dans les abattoirs peuvent être placés dans des abattoirs de la région, y compris de l'autre côté de la frontière américaine. Il n'y a pas de place pour XNUMX XNUMX animaux chaque semaine, ce qui signifie qu'il y a actuellement environ XNUMX XNUMX animaux prêts à être abattus dans les écuries en attente de transformation.
Le groupe d'intérêt canadien des éleveurs de porcs parle d'une situation grave et craint que si les problèmes ne sont pas résolus rapidement, l'euthanasie constitue une menace.
Des intérêts contradictoires
Le porte-parole des éleveurs de porcs parle d'un gaspillage alimentaire potentiellement énorme : "Chaque porc correspond à environ 600 repas, la quantité de gaspillage alimentaire en jeu est astronomique." Il a demandé au ministre du Travail de l'État du Québec d'intervenir comme médiateur et de ramener à la table l'employeur et les employés en conflit, dans l'espoir que le travail reprenne le plus rapidement possible.
Cependant, le porte-parole du syndicat indique que ses partisans sont « plus motivés que jamais » à lutter pour les meilleures conditions qu'ils méritent. Les éleveurs de porcs vivent ce commentaire comme une gifle, car ils sont dans l'incertitude sur la vente de leurs animaux depuis plus de 3 mois.
L'année dernière, des animaux ont également été euthanasiés aux États-Unis en raison d'un manque de capacité d'abattage. Elle soulève de plus en plus de questions à gauche et à droite sur les risques d’un secteur de l’abattage de plus en plus concentré.