En termes de prix, le marché porcin du nord-ouest de l’Europe est entré dans des eaux quelque peu plus calmes. Cependant, les problèmes déjà connus ne sont pas encore passés au second plan.
Après quelques semaines mouvementées, la tension est quelque peu retombée. Le fait que le prix allemand du porc (VEZG) ait pu se maintenir mercredi à 1,25 € le kilo pour la deuxième semaine consécutive peut être considéré comme un point de départ. Et même si les abattoirs suivent une tendance stable, ils continuent de faire des vagues. Les opportunités de vente de viande semblent extrêmement faibles, en revanche viande de boeuf et de volaille qui font augmenter l’indice de la viande de la FAO.
Un chiffre d'abattages supérieur à 300.000 XNUMX
L’offre de porcs prêts à l’abattage reste extrêmement importante, ce qui entraîne une augmentation des poids à l’abattage. Aux Pays-Bas, Gosschalk n'est toujours pas autorisé à fonctionner à pleine capacité et les autres abattoirs ne sont pas incités en termes de vente de viande à accueillir des porcs supplémentaires. Les entrepôts frigorifiques seraient remplis de viande de porc, ce qui entraîne des coûts de stockage élevés. Pourtant, le nombre de massacres aux Pays-Bas a dépassé de peu la barre des 300.000 XNUMX la semaine dernière pour la première fois depuis des mois.
Prix stable de la bourse DCA
Un prix plus élevé du porc n’est pas une option réaliste pour le moment. Pour l’instant, une baisse du prix du porc ne constitue plus une menace aiguë, mais la pression à la baisse plane toujours comme un nuage d’orage sur le marché. Sur la base des indications du DCA Exchange Price 2.0 pour les porcs abattus, celui-ci reste inchangé pour la semaine 38 à 1,24 € le kilo. Et la cotation pour les porcs abattus est de 0,94 €.