L'impasse sur le marché du porc continue. D'une part, l'ambiance s'est légèrement améliorée ces dernières semaines et les approvisionnements ont commencé avant Noël. D'autre part, le nouveau pic corona, avec les mesures associées, provoque un sentiment plus déprimé dans les ventes au secteur de la restauration.
Toutefois, la pression sur l'approvisionnement en porcs vivants en Allemagne semble s'atténuer quelque peu. Aux Pays-Bas, les commerçants signalent également que les échanges se déroulent un peu mieux qu'il y a quelques semaines. L'augmentation du nombre d'abattages chez nos voisins de l'Est et plusieurs jours d'abattage le samedi dans les abattoirs néerlandais garantissent une capacité de transformation accrue. Mais globalement, l’offre de porcs reste suffisante pour répondre à la demande des abattoirs.
L’évolution des prix des pièces stagne
L'incertitude qu'implique la situation actuelle du coronavirus se lit dans les changements pour le parties de porc, publié par DCA. Même s’il y a eu quelques (petits) points positifs presque chaque semaine au cours de la période écoulée, tout reste stable cette semaine. Le commerce de la viande ne peut pas convertir les impulsions positives - émanant des approvisionnements pour les vacances - en espèces sonnantes et trébuchantes. Cela s’explique par une demande plus prudente des chaînes hors domicile.
En Allemagne, le nombre d'abattages a encore considérablement augmenté la semaine dernière et atteint un niveau que nous n'avions pas vu depuis un certain temps. Les abattoirs allemands ont transformé la semaine dernière 862.088 97,5 animaux, avec un poids moyen à l'abattage de 1 kilos. C’est inchangé par rapport à une semaine plus tôt. Le cours allemand VEZG a été fixé mercredi 1,20er décembre à XNUMX € le kilo de poids abattu.