La hausse historique des prix sur le marché du porc touche à sa fin. En ce sens que les prix ralentissent, bien que le sentiment sur le marché soit toujours positif.
Le marché du porc s'est considérablement réinitialisé ces dernières semaines. L'effet tant attendu de la restructuration aux Pays-Bas et en Allemagne se concrétise enfin. L’offre est extrêmement limitée, notamment en Allemagne. Au cours de la semaine dernière, le chiffre des massacres est tombé à 730.000 XNUMX. Sachant que le nombre d'abattages pourrait facilement dépasser le million, la capacité d'abattage, aussi importante qu'aux Pays-Bas, reste inutilisée. Cela signifie que les coûts fixes doivent être répartis sur un nombre moins élevé d'abattages, ce qui est pénible. D'autant plus que les prix contractuels fixés pour la vente de viande sont déjà tendus en raison de la hausse rapide du prix de la viande de porc.
L'offre aux Pays-Bas est moins tendue
Aux Pays-Bas, l'offre est relativement moins tendue et le chiffre des abattages varie d'une semaine à l'autre autour de 315.000 XNUMX. La pénurie chez nos voisins de l'Est crée également un sentiment d'ambiance ici, car les éleveurs de porcs « menacent » d'approvisionner l'Allemagne si la différence de prix devient trop importante. Pour l'instant, les cours aux Pays-Bas restent raisonnablement proches des prix allemands, les privant ainsi de cette incitation.
En attendant, les ventes de viande continuent à plein régime, indiquent les abattoirs. Toutefois, les prix de la viande (prix contractuels) ne correspondent pas encore aux prix du porc, qui ralentissent désormais en Allemagne. Le marché boursier Internet a évolué de manière stable cette semaine, ce qui souligne la tendance à la stabilisation. Néanmoins, les porcs restent très demandés. Sur la base de ces déclarations, le prix d'échange du DCA augmente de 0,05 € à 1,79 € par kilo. Le prix du porc vivant augmente de 0,04 € à 1,39 €.