Après une activité et un sentiment intenses au début de cette année, il faut un certain temps pour s'habituer maintenant que le marché du porc n'a pas bougé ou à peine bougé depuis des semaines. La ligne stable se poursuivra également la semaine prochaine, car le cours de l'action DCA 2.0 reste pâle.
Le sentiment du marché n’est actuellement pas très dynamique. L'offre de porcs n'est pas importante, mais en raison des pertes et des jours d'abattage, il n'y a pas de pénurie. Aux Pays-Bas, il y a un jour d'abattage de moins cette semaine, le jour de la Fête du Roi, et en Allemagne, le jour de la Fête du Travail (1er mai).
La baisse du nombre de porcs se reflète dans les chiffres des abattages. Aux Pays-Bas, 299.873 740.000 porcs étaient pendus à des crochets la semaine dernière. La perte d'un jour d'abattage une semaine plus tôt, à Pâques, ne se reflète pas dans cela. Le chiffre des abattages allemands a dépassé de peu les XNUMX XNUMX, ce qui n'est pas grand-chose après une semaine interrompue. De plus, les abattoirs allemands ont également été fermés une semaine plus tôt, le Vendredi Saint. Il n’y aura pas non plus de jours d’abattage plus tard en mai, ce qui camouflera temporairement la pénurie.
Printemps froid
Les prix de la viande évoluent calmement. En raison d'un printemps toujours froid, les chiffres de consommation sont décevants. Nous vivons une époque de forte inflation, qui exerce une pression sur le pouvoir d’achat des consommateurs. Toutefois, les stocks sont faibles dans l’ensemble du secteur de la viande, ce qui signifie que le marché peut évoluer rapidement si le sentiment change.
Toutefois, ce n’est pas le cas pour le moment. Le prix du porc allemand (VEZG) est resté mercredi bloqué à 2,33 euros le kilo pour la sixième semaine consécutive. La bourse d’études DCA 2.0 n’est pas non plus déplacée. La cotation pour les porcs abattus reste de 2,25 € le kilo. Le prix des porcs vivants est également inchangé à 1,78 € le kilo.