Pendant un moment, le prix du porc a semblé prêt pour une nouvelle reprise, mais la tentative du commerce du porc a été étouffée dans l'œuf par les abattoirs. Le marché, quant à lui, s'est résigné à un mouvement latéral.
Le marché aux cochons après Pâques peut être qualifié d'ennuyeux. Les prix évoluent principalement latéralement en Europe. Les hausses de prix qui ont brièvement plané sur le marché la semaine dernière ont déjà disparu. Les abattoirs ont fait savoir très clairement qu'ils ne toléreraient pas d'augmentations et le secteur semble l'accepter. Au vu des niveaux de prix actuels, on ne peut pas reprocher aux abattoirs de payer mal, mais l'appétit pour des prix plus élevés demeure néanmoins.
Perte de jours d'abattage
L’approvisionnement en porcs est moins tendu en raison de l’annulation des jours d’abattage. Après l’Ascension, suit assez rapidement le deuxième jour de la Pentecôte. D'autres années, cela provoquait des problèmes dans le secteur primaire et les ventes en souffraient. Elle donne désormais aux abattoirs le temps de reprendre leur souffle après la chasse aux porcs. Car il apparaît désormais clairement que les abattoirs tentent de se surpasser pour s'assurer d'un approvisionnement suffisant en matières premières.
Peu de changements sont à noter sur le marché de la viande. Les réserves limitées assurent un plancher stable, mais la demande n’est pas très sauvage. La demande d’exportation hors Europe est également calme, les volumes expédiés étant limités selon les initiés.
Prix de bourse stable
La situation actuelle rend le marché prévisible. Sur la base de ces déclarations, le prix d'échange DCA 2.0 pour les porcs abattus reste à 2,25 € le kilo. Le prix du porc vivant est également stable à 1,78 € le kilo. Le cours allemand VEZG est resté mercredi à 2,33 euros le kilo.
Cliquez ici pour une explication de la liste.
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Le marché aux cochons après Pâques peut être qualifié d'ennuyeux. Les prix évoluent principalement latéralement en Europe. Les hausses de prix qui ont brièvement plané sur le marché la semaine dernière ont déjà disparu. Les abattoirs ont fait savoir très clairement qu'ils ne toléreraient pas d'augmentations et le secteur semble l'accepter. Au vu des niveaux de prix actuels, on ne peut pas reprocher aux abattoirs de payer mal, mais l'appétit pour des prix plus élevés demeure néanmoins.
Perte de jours d'abattage
L’approvisionnement en porcs est moins tendu en raison de l’annulation des jours d’abattage. Après l’Ascension, suit assez rapidement le deuxième jour de la Pentecôte. D'autres années, cela provoquait des problèmes dans le secteur primaire et les ventes en souffraient. Elle donne désormais aux abattoirs le temps de reprendre leur souffle après la chasse aux porcs. Car il apparaît désormais clairement que les abattoirs tentent de se surpasser pour s'assurer d'un approvisionnement suffisant en matières premières.
Peu de changements sont à noter sur le marché de la viande. Les réserves limitées assurent un plancher stable, mais la demande n’est pas très sauvage. La demande d’exportation hors Europe est également calme, les volumes expédiés étant limités selon les initiés.
Prix de bourse stable
La situation actuelle rend le marché prévisible. Sur la base de ces déclarations, le prix d'échange DCA 2.0 pour les porcs abattus reste à 2,25 € le kilo. Le prix du porc vivant est également stable à 1,78 € le kilo. Le cours allemand VEZG est resté mercredi à 2,33 euros le kilo.
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