L'année dernière, le nombre d'éleveurs de porcs en Pologne a diminué de 7 %. Les bouchons étaient presque exclusivement constitués de petits élevages porcins. La peste porcine africaine (PPA) est particulièrement responsable de ce déclin. Cela accélérera la modernisation de l’élevage porcin polonais.
Fin 2024, la Pologne comptait environ 3.600 100 éleveurs de porcs de moins que l’année précédente. Les producteurs en difficulté étaient presque exclusivement de petites fermes comptant moins de XNUMX porcs.
Fermes d'arrière-cour
Ce pays d'Europe de l'Est compte encore de nombreuses petites fermes dites de basse-cour. Bien qu'ils ne gèrent qu'une petite partie de la population porcine, ils sont les plus nombreux. La majorité des plus de 47.900 100 éleveurs de porcs de ce pays d'Europe de l'Est possèdent moins de 36.100 porcs. Selon l'Agence nationale polonaise pour la modernisation de l'agriculture (ARiMR), à la fin de cette année-là, la Pologne comptait XNUMX XNUMX petites exploitations de ce type.
Ces dernières années, le pays s’est tourné vers un modèle plus moderne et plus intensif. Même si la Pologne compte encore de nombreuses petites exploitations agricoles, la modernisation du pays s’est avérée être un succès. Cependant, la part de la population porcine dans ces exploitations est relativement faible. Au total, ces fermes détenaient 888.000 10 porcs, soit moins de 9.700 % du total. En outre, 100 1.000 exploitations détenaient entre 2.100 et 1.000 55 porcs. Environ 5,5 XNUMX fermes porcines comptaient plus de XNUMX XNUMX porcs. Au total, ces grandes entreprises détiennent XNUMX % des XNUMX millions de porcs polonais.
peste porcine
La principale raison pour laquelle ils ont abandonné était la peste porcine africaine. Selon le dernier rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (ESFA) sur le pays (datant de la mi-décembre), 2024 foyers sont survenus dans des élevages porcins au cours des onze premiers mois de 44, dont deux dans de grandes exploitations. Par ailleurs, le risque de nouvelles infections reste élevé, puisque pas moins de 2.044 foyers ont été recensés chez les sangliers. Les petites exploitations étant particulièrement vulnérables aux maladies animales, la modernisation du secteur s’est accélérée ces dernières années.