En 2024, ABZ Diervoeding a vendu 927.000 XNUMX tonnes d'aliments composés, tout comme l'année précédente. Ce chiffre stable suggère que la coopérative d’alimentation animale est en eaux calmes, mais rien n’est plus éloigné de la vérité. Les ventes d’aliments pour porcs ont fortement diminué. Toutefois, cela pourrait être compensé par des volumes de vente plus élevés de volaille et, en particulier, d’aliments biologiques.
En raison de la diminution du nombre d'animaux suite aux programmes de résiliation (Lbv et Lbv-plus), les ventes d'aliments pour porcs ont chuté de 13% à 179.000 5 tonnes. En revanche, les ventes d’aliments pour volaille ont augmenté de 355.000 % pour atteindre 340.000 1,142 tonnes, ce qui en fait la catégorie animale la plus importante. Les aliments pour bétail ont également enregistré une modeste augmentation, à 40 50.000 tonnes. En incluant la production sous contrat et les matières premières en vrac, XNUMX million de tonnes ont été vendues, soit un peu moins qu'un an plus tôt. La fusion avec De Valk Wekerom a augmenté les ventes de produits biologiques de pas moins de XNUMX %, pour atteindre près de XNUMX XNUMX tonnes.
L'ABZ Diervoeding a recruté 225 nouveaux membres l'année dernière. En raison d'une campagne de retrait des membres inactifs, le nombre de membres est passé de 113 à 2.807 1,9 l'année dernière. Ils pourront se partager conjointement 3 million d'euros, ce qui donnera lieu à un versement ultérieur de 1 euros par tonne d'aliments composés achetés. C'est 2024 € de moins que l'année dernière. Le résultat financier pour 9,5 a été, selon l'entreprise, suffisant. Les bénéfices ont toutefois connu un recul significatif, passant de 5 à 73 millions d'euros. Après déduction du paiement supplémentaire, une partie est ajoutée à la réserve pour réaliser des investissements. Avec XNUMX%, la coopérative présente une excellente solvabilité.
La fusion avec Vitelia n'est pas pressée
En 2024, un partenariat stratégique a été lancé avec la coopérative d'alimentation du Sud Vitélia, dans le but de parvenir à une fusion. Dans le rapport annuel, le directeur Marcel Roordink affirme qu'il n'y a aucune urgence à achever ce processus. « Les deux coopératives fonctionnent bien indépendamment. C'est principalement le long terme qui prime. La prudence prime sur la rapidité, mais nous continuons bien sûr à travailler. » L'approche diffère quelque peu de celle-ci fusions précédentes ces dernières années, où des mesures rapides ont été prises.
© DCA Market Intelligence. Ces informations de marché sont soumises au droit d'auteur. Il n'est pas permis de reproduire, distribuer, diffuser ou mettre le contenu à la disposition de tiers contre rémunération, sous quelque forme que ce soit, sans l'autorisation écrite expresse de DCA Market Intelligence.