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« Le cheptel devrait diminuer de 18 % au cours des cinq prochaines années »

23 Juin 2025 - Redactie Boerenbusiness

Les mesures gouvernementales liées à la crise de l'azote entraîneront une diminution de 2030 à 15 % du cheptel néerlandais d'ici 18. L'économie néerlandaise pourrait ainsi perdre jusqu'à 1,5 milliard d'euros de revenus et plus de 11.900 XNUMX emplois à temps plein sont menacés. C'est la conclusion d'ABN Amro dans une analyse récente de la diminution attendue du secteur animal. Selon la banque, l'impact sur l'économie globale restera limité.

Dans son analyse, la banque met en évidence les effets de la diminution du cheptel sur d'autres secteurs économiques. L'accent est mis sur les quatre principales filières animales : l'élevage laitier, l'élevage de veaux, l'élevage porcin et l'élevage de volailles. Cette diminution résulte principalement des réglementations de cessation d'activité des exploitations d'élevage et de la réduction des droits de production.

La plus forte contraction en 2025 et 2026
La plus forte baisse du cheptel est attendue en 2025 et 2026, suite aux réglementations de résiliation. En 2027 et 2028, on observera une légère baisse, suite à l'écrémage des droits de production. Après 2028, le nombre de porcs et de poulets devrait se stabiliser. Le nombre de vaches laitières devrait continuer à diminuer légèrement, car, selon un rapport précédent de l'Université et de la Recherche de Wageningen, une nouvelle écrémage des droits de phosphate reste nécessaire.

Impact sur les fournisseurs et les transformateurs
Les agriculteurs ne sont pas les seuls à être touchés par la baisse des stocks. Les fournisseurs tels que les entrepreneurs, les vétérinaires, les fournisseurs d'aliments composés, les consultants commerciaux et les fournisseurs de machines et d'écuries sont également confrontés à une baisse de la demande. Parallèlement, les transformateurs de l'industrie agroalimentaire seront confrontés à une diminution de l'offre de produits laitiers, de viande et d'œufs.

Selon une analyse quantitative d'ABN AMRO, la contraction pourrait entraîner une baisse du produit intérieur brut (PIB) d'environ 1,5 milliard d'euros. En 2023, le PIB des Pays-Bas s'élevait à 1.068 13.300 milliards d'euros. De plus, 11.900 0,15 emplois pourraient disparaître, dont XNUMX XNUMX en équivalents temps plein (ETP). L'impact sur le PIB serait donc limité à environ XNUMX %. Néanmoins, les dommages pour les entreprises et les salariés pourraient être considérables.

La redistribution offre également des opportunités
La réduction du cheptel peut également créer de nouvelles opportunités. La Banque n'a pas quantifié ces effets, mais les mentionne. Par exemple, l'espace azoté libéré peut accélérer l'octroi de permis à long terme, même si cela prendra probablement quelques années de plus.

De plus, les travailleurs libérés peuvent être déployés ailleurs dans l'économie, ce qui limite les dommages économiques. De plus, des espaces sont libérés sur le réseau électrique et les terres agricoles libérées, notamment les prairies, peuvent être utilisées pour l'extensification des exploitations d'élevage et de cultures restantes.

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