Une fois de plus, le fonctionnement des entreprises agricoles risque d'être entravé par une année de référence. Cette fois, les fonds de la PAC sont impliqués. Il ne s’agit plus seulement désormais de l’évolution de l’élevage laitier, mais aussi de l’équilibre entre l’agriculture herbacée et les grandes cultures. Plus d’informations à ce sujet dans un nouveau Farming Business Facts.
Pour compléter le tableau, Statistics Netherlands a répertorié l'évolution de l'exploitation laitière (au cours des 10 dernières années). Sur le plan foncier, les résultats suivants ressortent : une moyenne de 9 hectares de terres supplémentaires. Sur ces 9 hectares, 4 hectares sont constitués de prairies permanentes, 4 hectares de prairies temporaires et 1 hectare de nature.
Augmentation du cheptel
En termes d'animaux, le troupeau a augmenté de 32 vaches. La combinaison de terres supplémentaires et de bétail supplémentaire se traduit par une moyenne plus élevée par hectare. Celle-ci est passée de 1,6 vache laitière par hectare à 1,9 vache laitière par hectare. Une ferme moyenne compte aujourd'hui 52 hectares et 100 vaches laitières.
La gestion de la nature agricole est mentionnée comme un lieu où il est possible d'impliquer la nature dans l'agriculture. C'est probablement la clé d'une solution autour de l'histoire du CO2.
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