Huitema : « Il faut donner plus d'espace au fumier animal »

Et Bertus, qui va payer tout ça ??

Commençons par une politique d'importation critique en termes de matières premières et de denrées alimentaires, donc arrêtons d'abord avec le CETA, le TAFTA, etc.

Très bien, Hans, pour commencer par le CETA et le TTIP (nous ne participons pas au TAFTA de toute façon).

Qui va payer pour boucler le cycle, vous vous demandez ?

De nombreux égouts ont été construits dans les années XNUMX et devront être remplacés dans les années à venir, à commencer par les tourbières. C'est peut-être aussi le moment de réorganiser les toilettes et les égouts afin que les matières fécales et l'urine puissent être séparées. La plupart des résidus de médicaments et de pesticides se trouvent dans l'urine. De l'énergie peut alors en être extraite et les minéraux dits verts peuvent être récupérés.
Avec les revenus financiers qui en découlent, les coûts de transition et de traitement peuvent être payés.

De cette manière, l'utilisation et donc aussi la production consommatrice d'énergie d'engrais peuvent en principe être réduites à zéro. Cela se traduit par une énorme réduction des émissions de CO2.

Correction : ....afin que les matières fécales et l'urine puissent être collectées séparément.

Bertus, demande si Huitema se retire également de ces traités, il est déjà proche du feu .....

Mais déjà les citoyens paient-ils la transition énergétique de leur logement, et s'attaquent-ils ensuite aussi au drain ?
Tout le monde sait que la récupération des minéraux coûte dix fois plus cher que l'extraction des minéraux. Si l'agriculteur doit payer pour cela, le prix de la nourriture atteindra également un niveau beaucoup plus élevé, surtout sans la pression sur les prix des importations illimitées.

Je ne pense pas que Jan avec le portefeuille de Pet acceptera tout cela.

En ce qui concerne les émissions de CO2, peut-être que Huitema peut également faire taxer le kérosène et le fioul ?

Quel cycle voyez-vous dans la combustion du fumier de poulet ?

Brûler du fumier de poulet coûte beaucoup d'énergie et dégage beaucoup de CO2. Ce n'est donc pas tenable. Le fumier de poulet - à condition qu'il soit exempt d'antibiotiques et de résidus de pesticides chimiques - est en principe adapté à l'épandage sur les terres arables au printemps en raison de sa teneur relativement élevée en N.

Si les substituts d'engrais artificiels (minéraux verts) ne sont plus considérés comme du fumier conformément à la loi, plus d'espace peut être créé pour l'épandage de fumier ordinaire.

Comment envisagez-vous la place des boues d'épuration dans le cycle ?
En tenant compte également des exigences des clients, etc.

Qu'elle est la définition de engrais ? S'agit-il d'une forme d'engrais produite artificiellement (production consommatrice d'énergie) et/ou de déchets contenant, par exemple, du N