Ne demandez pas comment c'est possible, profitez-en. C'est la devise du marché de l'oignon. Les viticulteurs sont coincés en selle et les trieurs osent aussi demander beaucoup d'argent à leurs clients. Plusieurs trieurs remarquent qu'il est plus achalandé que d'habitude en février. Le train des oignons est à la hauteur et ne semble pas ralentir pour le moment.