Avec un retard considérable, les chiffres des superficies pour 2023 ont finalement été publiés. En collaboration avec Boer&Bunder Boerenbusiness une analyse a été faite des déplacements des principales cultures pour 2023. Cela montre que la surface de la pomme de terre diminue et que les producteurs investissent à nouveau davantage dans les oignons.
Le retard important dans la réalisation du bilan combiné a également des conséquences sur la publication des chiffres de superficies pour 2023. Ceux-ci sont directement issus de ce que les producteurs remplissent pour pouvoir bénéficier des fonds de la PAC. Boer&Bunder de Dacom utilise également ces « limites BRP ». En analysant les chiffres les plus récents, nous savons enfin où se situent les changements.
Vous devez savoir ceci :
Le retard majeur a tout à voir avec la nouvelle PAC. Cette année, les agriculteurs doivent fournir beaucoup plus d'informations lors du « recensement de mai », par exemple sur les zones tampons. Cela se traduit par une explosion du nombre de parcelles. "Nous avons 2,5 millions de parcelles cette année", déclare Ivor Bosloper de Dacom. "Il y a aussi de nombreux fossés, bandes tampons et forêts." A titre de comparaison : l'année dernière, le fichier comptait plus de 1,5 million de parcelles. "La majorité de ces parcelles supplémentaires sont des fossés que nous avons filtrés. Nous avons également exclu de l'analyse 50.000 30 parcelles de XNUMX mètres carrés ou moins."
Les chiffres des limites du BRP peuvent différer des données communiquées par Statistics Nederland, bien qu'ils soient également basés sur ces données. Étant donné que les parcelles enregistrées déterminent en fin de compte le nombre d'hectares pour lesquels un entrepreneur recevra une subvention, l'enregistrement est généreux. Cela peut légèrement déformer l'image.
La culture de la pomme de terre diminue
Qu’est-ce qui ressort dans les chiffres de la zone ? Pour commencer, la culture de la pomme de terre. Cette année, 75.764 2 hectares de pommes de terre de conservation seront cultivés. Cela représente une diminution de 2022 % d’ici 1 et 1.540 % de moins que la moyenne quinquennale. En chiffres absolus, cela signifie 8 1 hectares de pommes de terre en moins. La culture des plants de pommes de terre est en baisse de 1.000 % et celle des pommes de terre féculières est inférieure à XNUMX %. La plus forte baisse de la consommation de pommes de terre se situe dans la Drenthe, où la culture a diminué de plus de XNUMX XNUMX hectares. La croissance est particulièrement visible dans le Brabant septentrional. Nous en parlerons davantage dans une analyse ultérieure au niveau provincial.
Le Nord cultive davantage d'oignons
Et si on semait des oignons ? Ils gagnent en popularité cette saison. Ce n’est pas surprenant étant donné les prix du marché extrêmement élevés la saison dernière. Une superficie de 29.123 6 hectares signifie une croissance de 1.610% des semis d'oignons, ce qui s'élève à 6 733 hectares. Cela signifie que la culture a augmenté de 600 % en cinq ans. Ici aussi, Drenthe est en tête de liste, mais comme le plus grand grimpeur. 2 hectares supplémentaires de semence d'oignons sont cultivés dans la province. Groningue suit avec 563 hectares en 3e place et le Brabant septentrional en 6e place avec XNUMX hectares. La culture des plants d'oignons de deuxième année a diminué de XNUMX % cette année.
Le fait que les conditions de semis des céréales d’hiver aient été favorables se reflète dans la croissance des deux cultures. Celui du blé est de 12 % (121.356 42 hectares) et celui de l'orge même de 15.000 % (4.350 XNUMX hectares). Il n’est donc pas surprenant que la superficie consacrée au blé de printemps ait été réduite de moitié et qu’un tiers de moins d’orge de printemps ait été semé. Ce qui est également frappant, c'est que la culture du lin a augmenté de près d'un cinquième pour atteindre XNUMX XNUMX hectares.
La betterave sucrière connaît un léger recul de 2 %, pour atteindre largement plus de 80.000 2021 hectares. C'est une superficie comparable à celle de 33. Sensus, filiale de Cosun, n'a pas réussi à faire la différence dans la culture de la chicorée. 2.700 % de moins ont été semés, soit 3.517 807 hectares. Cela représentait XNUMX XNUMX hectares (-XNUMX hectares) l'année dernière.
La culture de la carotte a été mise sous pression ces dernières années en raison de divers facteurs. Il est peut-être frappant que la superficie augmente de 7 % en 2023 pour atteindre plus de 2.700 2015 hectares. Comparable à 2017 et XNUMX. Dans le Brabant-Septentrional et dans le Limbourg, la culture de la carotte a légèrement augmenté, même si elle concerne plusieurs dizaines d'hectares.
Beaucoup moins de maïs
Enfin, l'élevage, à commencer par les prairies. Cette superficie a légèrement diminué pour atteindre 975.635 1 hectares. 9.350% de moins que l’année dernière. Pour la cinquième année consécutive, la superficie des prairies est désormais inférieure au million d’hectares. Le maïs affiche une baisse significative de 5 2022 hectares. Cela représente une diminution de 2023 % par rapport à XNUMX. La superficie consacrée au maïs (d'ensilage) n'a pas été aussi petite depuis des décennies qu'elle l'était en XNUMX. Cela est dû à un déclin de l'élevage et à une augmentation du blé et de l'orge.