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Le pâturage frontalier devient administrativement plus simple
D'un point de vue vétérinaire, il sera plus facile de faire paître le bétail au-delà des frontières du Benelux ainsi qu'entre les Pays-Bas et l'Allemagne. C'est le résultat d'une modernisation des accords en la matière.
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Les accords vétérinaires existants impliquaient de lourdes charges administratives et, selon le secrétariat de l'Union Benelux, certaines choses ont été simplifiées. Concrètement, il s'agit de l'actualisation de deux décisions du Benelux sur le « pâturage frontalier ».
Obligation de déclaration
L'accord sur la nouvelle réglementation a été conclu sous la direction du ministre Piet Adema de la LNV. Les règles s'appliquent non seulement aux bovins, mais aussi aux ovins et caprins. Depuis les années 1990, il existe des règles Benelux qui réglementent le pâturage des animaux de part et d'autre de la frontière. Les règles visent à minimiser les risques vétérinaires. C'est pourquoi les éleveurs ont une obligation de déclaration et leurs animaux doivent subir un contrôle sanitaire préalable et être vaccinés si nécessaire.
Également des accords bilatéraux
L'Allemagne et la France participent également activement aux consultations. En termes de contenu, les deux décisions Benelux ont également été utilisées pour conclure des accords bilatéraux similaires avec la France et l'Allemagne.