Le commerce des droits sur le phosphate a démarré dans le calme au cours de la nouvelle année. Pourtant, les échanges commerciaux se poursuivent, malgré la menace d'une intervention ministérielle sur le marché des phosphates. Raison : la situation actuelle offre également des opportunités.
La principale opportunité est que les acheteurs peuvent désormais acheter pour la moitié du prix qu'ils avaient dû débourser jusqu'en septembre de l'année dernière environ. Donc deux pour le prix d'un. Les vendeurs peuvent également bénéficier de la vente immédiate. Pour le moment, cela est encore possible sans écrémage.
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C'est un métier amusant, disent les courtiers et autres intermédiaires. Il est important que les transactions soient signalées le plus rapidement possible à RVO, car ce qui est désormais établi est sûr. Après tout, la crainte est que le ministre puisse intervenir rapidement sur le marché.
Le ministre sortant de l'Agriculture, Adema, ne réfute pas la crainte d'une intervention, mais hésite jusqu'à présent sur l'opportunité et la manière dont il interviendra sur le marché. L'intervention ne peut être disproportionnée, ni pour un sous-secteur dans son ensemble, ni par rapport à d'autres secteurs. Alors quel est le bon choix ?
La plupart des transactions impliquent des achats de droits, alors que la demande de droits de location est bien moindre. Ce qui n’est pas inhabituel en ce début d’année.