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Les règles belges en matière d'hygiène et d'antibiotiques sont plus strictes
À partir du 1er mars, les producteurs laitiers belges devront faire face à des règles plus strictes concernant le système de qualité IKM. Une plus grande attention est notamment accordée à l'hygiène dans l'entreprise et à l'utilisation d'antibiotiques, annonce l'organisation industrielle MilkBE.
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Cet ajustement est une nouvelle élaboration des réglementations déjà mises en œuvre en 2020. L'objectif des règles d'hygiène plus détaillées est d'avoir une meilleure idée des entreprises qui ne mettent pas leur hygiène et leur propreté en ordre et de les encourager à s'améliorer. Les entreprises qui ne mettent pas leurs affaires en ordre ne recevront plus de certificat jusqu'à ce qu'elles s'y conforment. Un certificat de plus courte durée est également délivré plus rapidement.
Un autre changement est que l'audit inopiné, qui était déjà possible, pourra être réalisé par plusieurs personnes, l'acheteur du lait pouvant également être présent.
Le suivi de l'utilisation des antibiotiques et l'inscription au registre flamand ou wallon étaient déjà obligatoires. A partir du mois de mars il y aura également obligation de discuter de la prise d'antibiotiques avec le vétérinaire en cas de score modéré ou mauvais (note jaune ou rouge). Il n'y a pas encore de sanctions ici, notamment en matière d'hygiène et de propreté.