LTO Pays-Bas, en collaboration avec le NZO, a présenté un nouveau plan sur les engrais à l'approche d'un débat à la Chambre des représentants cette semaine. Cependant, le plan a perdu son soutien presque immédiatement après les discussions, car Agractie, NMV, DDB et Grondig se sont retirés.
Parmi les pierres d'achoppement pour ces organisations figurent l'accord prévoyant une réduction générique de 30 % sur le commerce des droits de phosphate, qui semble juridiquement difficile à obtenir, et une norme d'utilisation du fumier de 230 kilos d'azote. Le NAJK et De Natuurweide soutiennent LTO et NZO.
Le plan propose également de réduire la teneur en protéines des aliments du bétail et, dans un deuxième temps, de réduire temporairement le nombre de vaches laitières (en 2025 et 2026), afin de limiter la pression sur le marché du fumier. Entre-temps, des mesures majeures doivent être prises avec des mesures innovantes pour réduire les émissions provenant du fumier. D'autres mesures doivent être prises pour l'élevage laitier biologique, car il manque de fumier.
Ce plan, qui devrait être une alternative sectorielle au plan du ministre Adema, intervient à la veille de ce que certains considèrent comme un débat crucial à la Chambre des représentants sur la crise du marché néerlandais des engrais. Le lettre de fumier que le ministre Adema a envoyé au Parlement plus tôt ce mois-ci, offre trop peu de perspective et d'orientation en ce qui concerne LTO et NZO. Compte tenu de la gravité et de l’urgence des problèmes, les parties souhaitent trouver rapidement une solution viable.
Le plan de crise désormais élaboré doit continuer à garantir la dérogation transitoire déjà accordée, mais en même temps offrir de nouveaux espaces. Les partis espèrent que la Chambre des représentants adoptera le plan jeudi.
La perte de la dérogation et l'accumulation d'autres mesures européennes, telles que les zones NV et les bandes tampons obligatoires, ont radicalement réduit l'espace de dépôt du fumier aux Pays-Bas. La conséquence directe de cette situation est que le marché de la vente de fumier est complètement paralysé.
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C'est en réponse à cela Boerenbusiness article:
[url = https: // www.boerenbusiness.nl/artikelen/10908732/nieuw-sectorplan-mest-levert-direct-dragervlak-in]Le nouveau plan sectoriel du fumier fournit un soutien immédiat[/url]
Salut Jan, je viens de lire la réponse de Roeptoeter. Au moins LTO fait quelque chose !!
français a écrit:En augmentant autrement notre prix de revient ? Alors autant payer cher les ventes de fumier ! Le problème est que l’espace de placement a beaucoup trop diminué à cause de toutes sortes de règles sans justification. Il faut faire quelque chose à ce sujet ! LTO n'ose pas s'y brûler les doigts !Salut Jan, je viens de lire la réponse de Roeptoeter. Au moins LTO fait quelque chose !!