Encore un bémol pour la ministre de l'Agriculture Carola Schouten. Comme il semble maintenant, "seulement" la moitié des 400 éleveurs de porcs s'arrêteront avec une décision pour le programme de réhabilitation de l'élevage porcin (Srv). En outre, le calcul du profit azote de ce régime semble également erroné.
Selon certaines informations, beaucoup moins d'agriculteurs que prévu ont recours au régime de retrait obligatoire. Carola Schouten tablait sur 361 bouchons, alors qu'il semble aujourd'hui environ 200. De plus, le dispositif, pour lequel un demi-milliard d'euros est désormais prévu, semble être principalement bénéfique pour les éleveurs de porcs disposant d'écuries modernes et propres.
Les recherches menées par le programme EenVandaag et l'agence de recherche Investico montrent que Rabobank a eu une influence significative sur la rédaction du schéma et que l'Agence néerlandaise d'évaluation environnementale (PBL) a commis une erreur de calcul avec laquelle l'effet de la mesure de réduction de l'azote était presque triplé a été estimé trop élevé.
Faire l'équilibre
Le cabinet d'experts-comptables ABAB a calculé les chiffres sur la base des 200 abandons attendus. Au total, cela signifie une baisse de 70.000 75.000 à 330.000 335.000 truies et de 7 8 à XNUMX XNUMX engraissements dans notre pays. Le nombre de porcs diminue alors d'environ XNUMX à XNUMX %.
Cette diminution signifie également que 42.000 20.000 porcelets de moins naissent par semaine et 100 400.000 porcs d'engraissement de moins sont abattus chaque semaine. C'est 425.000 combinaisons de camions en moins par semaine qui transportent les porcs de finition. Le secteur de l'alimentation animale en est également affecté. La diminution des porcs entraîne une baisse de la demande d'aliments pour animaux de 250 XNUMX à XNUMX XNUMX tonnes. Cela représente environ XNUMX camions en vrac par semaine.
La production de fumier diminue également. Chaque année, 800.000 22.000 tonnes de fumier en moins sont produites. C'est 425 XNUMX trajets de camions en moins par an : XNUMX trajets par semaine. L'ensemble de la filière devra donc faire face à l'impact de l'assainissement.
Un gros flop ?
Selon le ministre Schouten, il n'y a pas encore de raison d'arrêter le processus. Le ministère s'en tient au calcul du PBL, même s'il n'est pas correct. Le fait que la plupart des éleveurs de porcs s'arrêtent avec une nouvelle étable propre ne semble pas être une raison pour abandonner le programme. On peut donc se demander dans quelle mesure une quantité suffisante d'azote sera réduite.
De plus, il apparaît maintenant que Rabobank a un doigt considérable dans le gâteau en ce qui concerne le régime, selon les recherches d'EenVandaag et Investico. Apparemment, l'arrangement est bon pour la banque, car ce sont précisément les agriculteurs qui veulent cesser d'utiliser des étables modernes. Ces éleveurs sont beaucoup plus endettés vis-à-vis de la banque que ceux qui ont des écuries plus anciennes. Rabobank protège ainsi les investissements dans le secteur.
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C'est en réponse à cela Boerenbusiness article:
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