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La CE voit un défi dans les émissions climatiques aux Pays-Bas

28 Décembre 2020 - Kimberley Bakker - Commentaires 3

La Commission européenne est clairement préoccupée par les émissions climatiques de l'agriculture néerlandaise, comme elle l'écrit dans son avis sur la mise en œuvre du NSP. C'est pourquoi la Commission propose que les Pays-Bas se concentrent, entre autres, sur la réduction des engrais et des engrais et sur la protection des oiseaux des prairies. Qu'est-ce que l'Europe attend d'autre de notre mise en œuvre de la politique agricole commune ?

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Dans la nouvelle Politique Agricole Commune (PAC), chaque pays élabore un « Plan stratégique national ». Il contient des conditions que doivent remplir les entrepreneurs agricoles pour être éligibles aux fonds européens. La semaine dernière, la Commission européenne a élaboré des conseils pour chaque pays européen sur la manière de mettre en œuvre le NSP. Il est clair que les Pays-Bas doivent se concentrer avant tout sur la réduction des émissions climatiques du secteur agricole et horticole.

Émissions les plus élevées par hectare
Les chiffres de la Commission européenne montrent que les Pays-Bas ont actuellement les émissions climatiques par hectare les plus élevées de l'Union européenne. Il s’agit d’un niveau 4 fois supérieur à la moyenne. Les Pays-Bas se distinguent également négativement dans les domaines de la qualité de l'eau, de la pollution de l'air et de la biodiversité. C'est pourquoi la Commission déclare que les Pays-Bas devraient concentrer leurs efforts dans leur PSN sur la réduction des engrais (artificiels) sur les sols principalement sableux, sur l'intensification de la protection des oiseaux des prés, sur la restauration et la préservation des éléments du paysage et sur l'augmentation de la part des exploitations biologiques.

Bien que les décideurs politiques néerlandais qui ont élaboré le plan souhaitent naturellement se concentrer sur cette méthode d'agriculture respectueuse de la nature, ils estiment que le fait que les revenus des entreprises agricoles soient à la traîne par rapport à d'autres secteurs constitue une menace majeure. "Nous voulons rendre de nombreuses entreprises plus durables et répondre aux souhaits de l'Europe, mais les coûts élevés qui sont interdits ne peuvent pas être récupérés sur le marché", a-t-on déclaré. plus tôt dit. La Commission européenne partage cette affirmation et indique qu'elle considère les prêts comme une menace. Après tout, les banques prêtent toujours Plus difficile argent. Selon la Commission européenne, le gouvernement doit jouer un rôle plus important à cet égard.

Les Pays-Bas feraient également bien de concentrer les fonds de la PAC principalement sur les petites et moyennes entreprises agricoles viables. La Commission indique également que les jeunes agriculteurs devraient avoir un accès plus facile au capital. De plus, les agriculteurs doivent être indemnisés s’ils contribuent à l’environnement et au climat. Ce dernier est déjà dans le ligne d'attente avec les soi-disant programmes écologiques. Plus on contribue au climat, plus un entrepreneur peut recevoir de subventions.

Enfin, Bruxelles est convaincue que les produits chimiques sont encore trop utilisés dans le secteur agricole néerlandais. Une grande attention doit donc être accordée à la « lutte intégrée contre les nuisibles » dans le NSP. Selon le ministère de l'Agriculture, de la Nature et de la Qualité alimentaire, cette possibilité est déjà à l'étude. Par exemple, en encourageant le recours à la protection des cultures vertes à travers un éco-programme.

Participer volontairement
Les conseils de la Commission européenne constituent une liste assez longue et il semble y avoir peu de place à une interprétation personnelle. Après tout, si les points ci-dessus ne sont pas abordés dans le NSP, il y a une chance que le plan néerlandais soit rejeté. Il faut tenir compte du fait que les agriculteurs ne peuvent pas être obligés de coopérer avec les éco-projets. En bref : le NSP doit respecter les conseils de la Commission européenne et doit être suffisamment attractif pour que les agriculteurs veuillent réellement y participer. Un gros travail pour le nouveau cabinet.

Consultez l’intégralité de la recommandation ici.

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