L'assureur ASR accorde aux locataires qui cultivent dans le respect de l'environnement une remise de 5% à 10% sur le bail. Les nouveaux locataires existants et futurs peuvent profiter de ce programme, a annoncé la société aujourd'hui dans le Financieele Dagblad (FD).
ASR ne veut pas seulement que les agriculteurs paient les coûts plus élevés d'une agriculture respectueuse de l'environnement. "Tous les acteurs de la chaîne agricole sont responsables de ce changement", déclare Fadyan Pronk, gestionnaire de portefeuille d'ASR Dutch Farmland Fund à la FD. ASR rencontre les agriculteurs avec une remise sur le loyer. Le groupe prévoit qu'en 2024 tous les nouveaux locataires bénéficieront de la remise et que 15% à 20% des locataires existants seront éligibles.
Connexion à la pratique existante
Pour l'instant, l'entreprise ne sait pas quelles mesures ASR préconise pour tirer parti de la remise de location. L'article du FD mentionne la participation à l'Open Soil Index, mais les agriculteurs certifiés biologiques se qualifieraient également rapidement. Le porte-parole d'ASR déclare par téléphone "que l'on recherche le plus de liens possible avec les labels et certificats de durabilité existants auxquels certains locataires participent déjà".
Le portefeuille de l'ASR Dutch Farmland Fund comprend 35.921 2 hectares. Les locataires paient un loyer foncier de 2,6% à 22% et la durée résiduelle moyenne des contrats de bail du portefeuille est supérieure à 2 ans. Le fonds vise un rendement cible direct (rendement en dividendes) de 4 % et un TRI (rendement effectif) de XNUMX %.
L'entreprise ne veut pas perdre ce que la remise de location coûte à ASR, mais à long terme, cela ne coûte pas d'argent, selon Pronk. En améliorant la capacité de gain des agriculteurs, le risque débiteur est réduit. À long terme, la valeur des terres cultivées respectueuses de l'environnement serait plus élevée si elles étaient libérées ou vendues par rapport aux terres intensément travaillées.
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ASR ne veut pas seulement que les agriculteurs paient les coûts plus élevés d'une agriculture respectueuse de l'environnement. "Tous les acteurs de la chaîne agricole sont responsables de ce changement", déclare Fadyan Pronk, gestionnaire de portefeuille d'ASR Dutch Farmland Fund à la FD. ASR rencontre les agriculteurs avec une remise sur le loyer. Le groupe prévoit qu'en 2024 tous les nouveaux locataires bénéficieront de la remise et que 15% à 20% des locataires existants seront éligibles.
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Pour l'instant, l'entreprise ne sait pas quelles mesures ASR préconise pour tirer parti de la remise de location. L'article du FD mentionne la participation à l'Open Soil Index, mais les agriculteurs certifiés biologiques se qualifieraient également rapidement. Le porte-parole d'ASR déclare par téléphone "que l'on recherche le plus de liens possible avec les labels et certificats de durabilité existants auxquels certains locataires participent déjà".
Le portefeuille de l'ASR Dutch Farmland Fund comprend 35.921 2 hectares. Les locataires paient un loyer foncier de 2,6% à 22% et la durée résiduelle moyenne des contrats de bail du portefeuille est supérieure à 2 ans. Le fonds vise un rendement cible direct (rendement en dividendes) de 4 % et un TRI (rendement effectif) de XNUMX %.
L'entreprise ne veut pas perdre ce que la remise de location coûte à ASR, mais à long terme, cela ne coûte pas d'argent, selon Pronk. En améliorant la capacité de gain des agriculteurs, le risque débiteur est réduit. À long terme, la valeur des terres cultivées respectueuses de l'environnement serait plus élevée si elles étaient libérées ou vendues par rapport aux terres intensément travaillées.