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Contractualisation : des conditions strictes signées rapidement

5 mars 2019 -Niels van der Boom

Un scénario particulier se déroule actuellement en Belgique. Le mécontentement des producteurs face aux nouveaux contrats de pommes de terre pour la saison 2019/2020 augmente. Les termes et conditions auraient été modifiés en faveur du fabricant.

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Là où les défenseurs néerlandais choisissent de s'asseoir avec les transformateurs de pommes de terre, leurs collègues flamands utilisent une méthode différente. Les usines peuvent compter sur de vives critiques de la part des contremaîtres des grandes cultures. La relation entre le producteur de pommes de terre et l'usine s'est pour le moins refroidie, écrit site de nouvelles sentir.être.

3 années extrêmes
Les producteurs de pommes de terre belges ont connu 3 années exceptionnelles. En 2016, la récolte a été mauvaise en raison de la sécheresse et les transformateurs ont obligé les producteurs à respecter leurs obligations contractuelles de l'époque, ce qui signifie qu'ils ont dû acheter des pommes de terre gratuitement. Dans certains cas, les contrats ont été réglés avec la récolte 2017. Le rendement des pommes de terre chips de primeur était également faible à l'époque, mais la récolte principale a été extrêmement bonne. Cela a entraîné des prix bas. De plus, la récolte 2018 est historiquement faible, les obligations étant à nouveau évoquées.

Mais un commentaire de Belgapom, qui s'exprime au nom des transformateurs adhérents, met désormais de l'huile sur le feu. Selon eux, certains producteurs ne souhaitent pas livrer le volume contracté, afin de bénéficier du prix élevé du marché libre. Selon le Syndicat général des agriculteurs (ABS), ce n’est pas le cas. Les producteurs de pommes de terre se retrouvent aux prises avec des granges vides, des rendements (financiers) faibles et des amendes élevées. Le commentaire n’est donc pas bien reçu.

De lourdes amendes
Selon Guy Depraetere de l'ABS, de nombreux producteurs de pommes de terre se voient infliger des amendes allant de plusieurs milliers d'euros à 40.000 XNUMX euros. En effet, les producteurs ne peuvent pas respecter les conditions du contrat. Selon lui, la transmission des problèmes est un "phénomène purement belge", notamment parce que c'est là que sont conclus les contrats à la barrique et non à l'hectare.

Mais Belgapom voit les choses différemment. Selon la partie, les frais ne sont pas transmis unilatéralement. "L'ensemble de la chaîne a cette année Perdre passé. Pour faire face à leurs obligations, ils doivent acheter des pommes de terre plus chères", explique le secrétaire d'État Romain Cools. "Le prix élevé des matières premières se répercute désormais lentement sur le prix de vente au détail. Les chiffres le montrent. »

Des conditions plus strictes
L'année extrême 2018 a apporté des modifications aux contrats, mais selon ABS, pas à l'avantage des agriculteurs. "Dans les nouveaux contrats, le déséquilibre entre l'agriculteur et l'acheteur s'est accru. L'agriculteur supporte tous les risques ; les clauses de force majeure sont supprimées ou disparaissent complètement et la demande de contrats à l'hectare n'est pas satisfaite. Le prix du contrat a été ajusté à la hausse, mais pas au-dessus du niveau d'il y a 3 ou 4 ans", a déclaré Depraetere.

De plus, le contenu des contrats ne peut pas être correctement négocié, comme le constate l’agriculteur. Les plants de pommes de terre sont utilisés comme moyen de pression par l'industrie : un producteur doit signer s'il veut cultiver des pommes de terre.

Prix ​​et conditions
Belgapom voit également les choses différemment. "Les prix des contrats en Belgique sont beaucoup plus élevés qu'aux Pays-Bas. Nos voisins du nord calculent avec une gradation de 40 millimètres au-dessus, alors qu'en Belgique, la norme est de 35 millimètres. Cela influence également le prix. Dans la grande majorité des cas, les contrats car j'ai trouvé une solution au cours de la saison 2018/2019", déclare Cools.

Un prix décevant et des conditions plus strictes ne correspondent pas à la voix des producteurs belges. Néanmoins, les transformateurs de pommes de terre constatent que la passation des marchés se déroule remarquablement bien. ABS s'attend à une légère diminution des superficies en Belgique, ce qui est dû à la diminution de la disponibilité des plants de pommes de terre. Malgré ce déclin, il y a une surproduction lors d'une récolte moyenne, ce qui entraîne des prix bas.

Les faits sont exacts
Les commentaires de Cools, au nom de Belgapom, sont effectivement corrects. Dans la comparaison des prix contractuels de Boerenbusiness Dans de nombreux cas, le belge Agristo arrive en tête payant hors du bus. Aussi le prix de Clarebout en RTL Patât est à un niveau élevé par rapport aux Pays-Bas. En raison de la volonté d'expansion de certaines usines belges, davantage de pommes de terre sont nécessaires. Un prix plus élevé encourage l’expansion de la zone, après quoi tous les joueurs doivent participer. Le secteur néerlandais de la pomme de terre se trouve dans des eaux plus stables.

Il existe des différences notables en ce qui concerne les spécifications de livraison. Agristo, mais aussi Dutch Farm Frites, utilisent 35 millimètres au-dessus. Pas étonnant, puisque Farm Frites contracte beaucoup en Belgique. Aviko et Lamb Weston Meijer utilisent 40 millimètres vers le haut. McCain travaille avec des contrats séparés, selon les mois. Les clients qui Boerenbusiness Les intervenants indiquent tous que leurs conditions de livraison n'ont pas été adaptées, contrairement à ce qu'ABS entend dire sur le marché.

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