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Présenté par KWS

Cinq conseils pour réussir la culture du maïs

16 Avril 2024

La semaine dernière, nous avons enfin eu ce que nous espérions depuis si longtemps : des journées ensoleillées et sèches. Peut-être avez-vous profité de l'occasion pour récolter votre seigle rapide de printemps, par exemple, et votre champ peut maintenant être préparé pour la prochaine culture : le maïs ! À l’approche de la saison des semailles, nous souhaitons partager quelques conseils pratiques.

1. Fournir un bon lit de semence
Les températures élevées du sol permettent une bonne germination, une levée élevée au champ et une croissance rapide des jeunes (ce qui garantit une bonne suppression des mauvaises herbes). Une bonne structure du sol est essentielle pour un réchauffement rapide du sol au printemps. Le sol doit être meuble, friable et sans compactage. Le compactage du sol garantit que la croissance des racines n'est possible que dans une mesure limitée, tout comme l'absorption des nutriments et de l'eau. Assurez-vous donc d’une bonne préparation du sol. De plus, augmenter la teneur en humus à long terme peut également contribuer à une meilleure structure du sol. Cela peut être fait, entre autres choses, en cultivant une culture dérobée telle que Seigle de printemps rapide.

2. Semez les bonnes variétés au bon moment
La meilleure période pour semer se situe entre le 20 avril et le 10 mai. La température du sol est importante pour déterminer le début du semis. Celle-ci doit être d'au moins 10 degrés à la profondeur de semis. Si le sol est encore trop froid au moment du semis, vous risquez une germination mauvaise et lente avec une possible perte de qualité et de rendement. Cependant, si vous optez pour un semis tardif – par nécessité parce que les conditions de semis ne le permettent pas ou délibérément parce que vous semez après l'herbe – vous aurez une période de végétation plus courte. Cela peut également entraîner des problèmes de qualité, car il existe un risque de mauvaise maturation.

Parfois, les changements climatiques (imprévisibles) et les semis d’autres cultures font du choix de la bonne période de semis un véritable défi. Dans ce cas, il ne faut pas oublier que le choix correct de la variété de maïs en fonction de la période de semis est d’une grande importance. Par exemple, lors de semis tardifs, privilégiez les variétés de maïs ultra-précoces à très précoces ou très précoces à précoces comme KWS Nevo (FAO 180) et Papageno (FAO 200), au lieu de variétés mi-précoces.

3. Vérifiez la profondeur et la distance de semis correctes
Il est important de vérifier la profondeur de semis et l’espacement dans le rang lors du semis. Vous êtes ainsi assuré d'une levée fluide et d'un maintien régulier de votre maïs.

La bonne profondeur de semis pour les différents sols
Une profondeur de semis de 3 à 4 centimètres est recommandée aussi bien pour les sols argileux/limoneux plus lourds que pour les sols plus légers (sableux et loess). Ce n'est que dans le cas de sols plus légers présentant un risque élevé de dessèchement et un mauvais ancrage dans le sol qu'une profondeur de semis de 5 à 6 centimètres doit être maintenue.

La bonne distance de semis en fonction de la maturité précoce (FAO)
La distance à laquelle les graines doivent être semées en rangée dépend de la classe de maturité précoce (FAO) de la variété à semer.

Attention : pour une utilisation en maïs grain, 5.000 XNUMX graines de moins peuvent être semées par hectare.

4. Fertilisez avec du potassium
La législation sur le fumier restreint la fertilisation avec du fumier organique. La conséquence directe est que l’apport de potassium via les engrais organiques a diminué. De plus, la teneur en potassium du fumier est également réduite. Un bon apport de potassium pour la culture réduit la sensibilité à la verse et à la sécheresse et est extrêmement important pour une bonne formation des épis. Il est donc important de ramener le taux de potassium à la normale. La forme et la quantité de cette opération dépendent des conseils issus de l'analyse du sol et du fumier. Il est préférable d’appliquer du potassium peu avant ou peu après le semis.

5. Vérifier l'émergence du champ
Vous pouvez facilement vérifier la levée du nombre de plants de maïs par hectare. Mesurez 13,3 mètres d'affilée, comptez le nombre de plantes sur cette distance et multipliez ce nombre par 1.000 XNUMX. De cette façon, vous saurez rapidement si suffisamment de plants de maïs ont germé.

S’il y a une perte de plantes et/ou de graines qui n’ont pas germé, cela ne constitue pas nécessairement un problème. Il doit s'agir d'une « irrégularité régulière » : l'apparition d'une plante manquant ici et là. Dans ce cas, ne passez pas trop vite au sursemis ou au ressemis. Cela entraîne des coûts supplémentaires, mais il n’est pas garanti qu’il en résulte un rendement plus élevé et/ou une meilleure qualité.

Vous souhaitez en savoir plus sur le semis du maïs ou avez-vous besoin d’aide pour choisir la bonne variété ? Alors regarde le site de NDN Collective de KWS Benelux ou prenez contactez votre conseiller KWS.

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