Il y a une fois de plus des signes que l'expropriation des agriculteurs pourrait devenir une politique gouvernementale pour créer un espace d'azote. À la suite de 4 rapports, nous avons écrit en mars que vente forcée n'était plus exclu. Aujourd'hui, l'Agence néerlandaise d'évaluation environnementale (PBL) publie nouveaux frais de plans, qui comprennent également l'expropriation.
L'Agence néerlandaise d'évaluation environnementale a calculé 2 ensembles de politiques pour le cabinet sortant, qui impliquent tous deux des achats à grande échelle et des expropriations. Un pourcentage de 130% est mentionné comme indemnité d'expropriation dans les deux scénarios.
Dans le premier scénario, 8 milliards d'euros seront mis à disposition pour racheter notamment des exploitations laitières, notamment autour des zones Natura 2000. Deux tiers de ce plan vont à l'achat volontaire et un tiers à l'expropriation. Dans ce scénario, les agriculteurs reçoivent une compensation à 100 % pour le phosphate et les droits des animaux ainsi que pour les bâtiments en cas de rachat volontaire. Dans les programmes d'achat volontaires précédents, ce pourcentage était de 65 %.
Acheter un terrain
Il y a aussi 9 milliards d'euros disponibles pour acheter des terres et ensuite les amortir sous condition d'utilisation agricole intensive. Ce plan prévoit également 1,5 milliard d'euros pour des mesures techniques, notamment des étables à faibles émissions. Le plan aspire également à un passage à l'élevage laitier entièrement basé sur la terre. La transformation des fumiers est obligatoire pour les autres filières d'élevage.
30% du cheptel
Le deuxième plan se limite à l'achat d'écuries et de droits d'élevage et de phosphate, la terre n'est pas achetée. Ces scénarios sont basés sur l'achat de 30% du cheptel (bovins laitiers, porcs et poulets). 2,3 milliards d'euros sont mis à disposition dans cette enveloppe pour les rachats volontaires, 2,9 milliards d'euros pour les rachats ciblés via règlement amiable et 3,8 milliards d'euros pour les rachats ciblés via expropriation. Dans ce régime, l'indemnité en cas de départ volontaire (conformément à la réglementation antérieure) est de 65 % pour les écuries et de 100 % pour les phosphates et les droits des animaux. Celle-ci est de 100% en cas d'achat amiable et de 130% en cas d'expropriation. L'expropriation a lieu dans les entreprises classées comme chargeuses de pointe sur les zones Natura 2000.
De plus, ce plan impose des plafonds d'émissions d'ammoniac à l'agriculture, avec une redevance sur les émissions d'azote.
Agration : Rachat forcé non négociable
Le rachat forcé n'est pas négociable pour Agractie, indique le groupe d'action dans un communiqué. "Le CDA et le VVD ont indiqué plus tôt cette année que le rachat forcé était également un interdit inavouable pour eux. Nous les maintiendrons certainement là-dedans, d'autant plus que la grande majorité des citoyens néerlandais ne veulent pas gaspiller 17 milliards de contribuables". de l'argent!"
Le contact néerlandais pour la jeunesse agricole (NAJK) répond également. L'organisation est déçue de l'accent mis sur les décrocheurs. "Le gouvernement et la politique ont perdu de vue les restants", a déclaré le président du NAJK, Roy Meijer. NAJK, avec LTO, NZO et Rabobank, forme la Coalition for the Future-Proof Dairy Farming (CTM), qui a présenté un plan au gouvernement. "NAJK discute de cela avec le ministère de l'Agriculture, de la Nature et de la Qualité alimentaire, mais n'est pas impliqué dans les plans d'expropriation et n'y participe pas", a déclaré Meijer.
Un programme de restructuration volontaire antérieur a entraîné un nombre décevant d'éleveurs de porcs. Le nouveau régime national de résiliation des exploitations d'élevage (Lbv) sera ouvert au printemps 2022† Les exploitations laitières, avicoles ou porcines qui souhaitent arrêter peuvent participer volontairement. Un budget de 970 millions d'euros est disponible pour ce régime.
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C'est en réponse à cela Boerenbusiness article:
[url = https: // www.boerenbusiness.nl/mest/ artikel/10894010/wordt-onteigenen-boeren-beleid-nieuw-kabinet]L'expropriation des agriculteurs deviendra-t-elle un nouveau cabinet politique ?[/url]